Un titre qui annonce bien la couleur. Il joue déjà sur les mots. On ne comprend pas la même chose si on le lit ou si on le dit !
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La Cie Promethéâtre de Tours dans « L’effet salaire » sur un texte de Y. Nedelec. La Cie Promethéâtre de Tours dans « L’effet salaire » sur un texte de Y. Nedelec. Un titre qui annonce bien la couleur. Il joue déjà sur les mots. On ne comprend pas la même chose si on le lit ou si on le dit ! Mais que les amateurs de paillardise ne se réjouissent pas trop vite ! Nulle trace de vulgarité, nulle facilité grivoise.
Parlant de fesses, le défi est de faire beaucoup rire, sans que jamais personne n’ait honte de s’être esclaffé. Et puis apparaît progressivement le thème essentiel : la communication. Comment appâter des clients, des électeurs, des fidèles, des spectateurs ? Pour vendre une voiture, est-il indispensable de faire poser une potiche dénudée à côté ? Pour remplir un théâtre, est-il utile de mettre une paire de fesses sur l’affiche ? Où s’arrête la séduction, où commence le racolage ? Sous la ceinture, la gloire ? Pour faire fortune, n’y aurait-il qu’à se baisser ?« L’effet salaire » est avant tout un spectacle d’humour, qui met le doigt où ça chatouille.
Parlant de fesses, le défi est de faire beaucoup rire, sans que jamais personne n’ait honte de s’être esclaffé. Et puis apparaît progressivement le thème essentiel : la communication. Comment appâter des clients, des électeurs, des fidèles, des spectateurs ? Pour vendre une voiture, est-il indispensable de faire poser une potiche dénudée à côté ? Pour remplir un théâtre, est-il utile de mettre une paire de fesses sur l’affiche ? Où s’arrête la séduction, où commence le racolage ? Sous la ceinture, la gloire ? Pour faire fortune, n’y aurait-il qu’à se baisser ?« L’effet salaire » est avant tout un spectacle d’humour, qui met le doigt où ça chatouille.