par Aurélie Artizzu, doctorante (Université Paris 1 – ARSCAN UMR 7041)
Dans les archives de l’abbaye de Morimond, le parchemin, traditionnellement considéré comme un simple support d'écriture, a révélé une facette archéologique étonnante en tant que matériau animal. Grâce aux analyses scientifiques, des informations précieuses sur les espèces animales utilisées pour le fabriquer à différentes époques ont été dévoilées, apportant ainsi un nouvel éclairage sur son histoire fascinante.